CE QU’IL FAUT SAVOIR EN SVT POUR L’ENTREE EN TERMINALE SCIENTIFIQUE

Le programme de SVT de la classe de Terminale S est découpé en 8 parties.

 

I- ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE :

1ère Partie : INTRODUCTION : APPROCHE DU TEMPS EN BIOLOGIE ET GÉOLOGIE

Voir en 4ème

Histoire et évolution de la vie
Événements géologiques et évolution de la vie

voir en 3ème

Renouvellement cellulaire
2ème Partie : PARENTÉ ENTRE ÊTRES VIVANTS ACTUELS ET FOSSILES -
PHYLOGÉNIE - ÉVOLUTION

La recherche de parenté entre êtres vivants actuels et fossiles - Phylogénie - Évolution :

voir en 4ème
L'existence de formes intermédiaires conforte l'idée d'un lien entre les groupes : l'Archeopteryx.

Voir en 2nde 

Les cellules animales et végétales présentent une organisation générale commune.
Tous les êtres vivants sont apparentés : ils possèdent en commun une même structure cellulaire, une composition chimique très proche, une information génétique formée d'ADN, molécule codée partout de la même façon... Ils ont donc une origine commune
La lignée humaine - La place de l'homme dans le règne animal :
voir en 4ème
Évolution des êtres humains

voir en 2nde 

Le matériel génétique est contenu dans le noyau sous forme d'ADN, constituant essentiel des chromosomes.
L'ADN, formé de deux chaînes de nucléotides (A, T, C et G) est le support universel de l'information génétique, sous formes d'unités d'information appelées gènes.
La séquence de nucléotides d'un gène constitue un message codé : c'est l'information qui indique l'ordre d'assemblage des acides aminés du polypeptide gouverné par ce gène.
Les mutations, qui sont des modifications de la séquence des nucléotides d'un gène, sont à l'origine de la formation de nouveaux allèles.
Les critères d’appartenance à la lignée humaine :
voir en 4ème
  Évolution des êtres humains et lignée humaine (Australopithèques, Homo erectus, ...)
Le caractère buissonnant de la lignée humaine :
voir en 4ème
Évolution des êtres humains et lignée humaine (Australopithèques, Homo erectus, ...)
L’origine des hommes modernes, Homo sapiens :
voir en 4ème
Évolution des êtres humains et lignée humaine (Australopithèques, Homo erectus, ...)
3ème Partie : STABILITÉ ET VARIABILITÉ DES GÉNOMES ET ÉVOLUTION
L'apport de l'étude des génomes : les innovations génétiques :

voir en 3ème

Le noyau de chaque cellule contient l'intégralité du programme génétique.
Chromosomes : support de l'information génétique
Les êtres humains possèdent 23 paires de chromosomes.
Les gènes sont responsables des caractères de l'individu.
Notion d'allèles.
Voir en 2nde
Le matériel génétique est contenu dans le noyau sous forme d'ADN, constituant essentiel des chromosomes.
L'ADN, formé de deux chaînes de nucléotides (A, T, C et G) est le support universel de l'information génétique, sous formes d'unités d'information appelées gènes.
La séquence de nucléotides d'un gène constitue un message codé : c'est l'information qui indique l'ordre d'assemblage des acides aminés du polypeptide gouverné par ce gène.
Les mutations, qui sont des modifications de la séquence des nucléotides d'un gène, sont à l'origine de la formation de nouveaux allèles.
Voir en 1ère S
Le phénotype est l'ensemble des caractères observables d'un individu. Le phénotype peut se définir à différentes échelles qui découlent les unes des autres : organisme, cellule, molécule.
Parmi les protéines qui interviennent dans la réalisation du phénotype, les enzymes jouent un rôle essentiel : sans elles les réactions biochimiques indispensables ne pourraient se dérouler. Elles catalysent les réactions chimiques qui se produisent dans les cellules. Pour agir, les enzymes se lient de manière transitoire au substrat, grâce à la forme spécifique de leur site actif.
Les protéines sont des séquences d'acides aminés. La structure trimenditionnelle des protéines dépend étroitement de la séquence des acides aminés de la protéine.
L'information nécessaire à la synthèse d'une protéine est un gène, elle est codée sous forme d'une séquence d'ADN.
Le système de correspondance entre la séquence de nucléotides du gène et la la séquence des acides aminés de la protéine est appelé code génétique. A 3 nucléotides correspond un acide aminé bien déterminé.
L'expression de l'information génétique fait intervenir 2 étapes :
- une transcription qui produit une série de copies éphémères du gène : les ARN messagers.
- une traduction au cours de laquelle l'information apportée par chaque ARNm dans le cytoplasme est décodée pour assembler les acides aminés.

Méiose et fécondation participent à la stabilité de l'espèce :

voir en 4ème

La reproduction sexuée est marquée par l'union d'un spermatozoïde et d'un ovule. Le nouvel organisme, s'édifie à partir de la cellule-oeuf par divisions successives.
Voir en 3ème
Le caryotype humain comporte 46 chromosomes que l'on peut regrouper par paires de chromosomes homologues. Lors de la fécondation, le spermatozoïde et l'ovule apportent chacun 23 chromosomes.
Voir en 1ère S
En interphase, chaque molécule d'ADN se réplique : les deux molécules d'ADN formées sont identiques et donnent un chromosome dupliqué.
Pendant la mitose, chaque chromosome double se sépare après rupture du centromère : chaque cellule hérite des mêmes chromosomes simples.
Méiose et fécondation sont à l'origine du brassage génétique :
voir en 3ème
Unicité des individus
Au cours de sa formation, chaque gamète reçoit au hasard un chromosome de chaque paire soit 23 chromosomes : les gamètes produits par un individu sont génétiquement différents.
Lors de la fécondation, spermatozoïde et ovule participent à la transmission de l'information génétique : pour chaque paire de chromosomes et chaque gène, un exemplaire vient du père, l'autre de la mère.

Étude de trois exemples de relations entre mécanismes de l’évolution et génétique :

voir en 2nde
Les mutations, qui sont des modifications de la séquence des nucléotides d'un gène, sont à l'origine de la formation de nouveaux allèles.
Voir en 1ère S
Un phénotype peut être gouverné par plusieurs gènes. La mutation d'un seul de ces gènes peut altérer le phénotype.
Un même phénotype peut correspondre à plusieurs génotypes.
Le phénotype repose fondamentalement sur la combinaison des allèles pour chaque gène impliqué.
Le phénotype est aussi modulé par des facteurs extérieurs comme l'alimentation, le tabac.

4ème Partie : LA MESURE DU TEMPS DANS L'HISTOIRE DE LA TERRE ET DE LA VIE

Datation relative : 

voir en 5ème

La présence de fossiles permet de reconstituer les paysages anciens.
Voir en 4ème
Les êtres vivants se sont renouvelés au cours de l'histoire de la vie.
Événements géologiques et évolution de la vie.
Causes de la disparition des dinosaures.
Datation absolue : 

 
5ème Partie : LA CONVERGENCE LITHOSPHÉRIQUE ET SES EFFETS
La convergence se traduit par la disparition de lithosphère océanique dans le manteau, ou subduction : 

voir en 4ème

Découpage de la Terre en 12 plaques.
Variations de la vitesse des ondes sismiques et couches de la lithosphère.
Schéma de la structure interne du globe.
Les roches de la lithosphère
Origine et mouvement des plaques lithosphériques.
Naissance et disparition des océans.
Mouvements de convergence et subduction.
Formation des chaînes de montagne.
Voir en 1ère S

Une plaque est une vaste zone "tranquille", pas ou peu active. Elle peut être totalement océanique ou comporter à la fois une partie océanique et une partie continentale. Elle est séparée des plaques voisines par des zones actives étroites (marges actives) marquées par une sismicité et un volcanisme importants.
A raison de quelques centimètres par an, les matériaux des plaques se forment et s'écartent au niveau de l'axe des dorsales qui sont des frontières de divergence.
A ce niveau remontent en permanence des magmas basaltiques provenant de la fusion partielle des péridotites du manteau. Le refroidissement de ces magmas (rapide en surface ou lent en profondeur) donne naissance aux deux principales roches du plancher océanique : les basaltes (roches microlitiques) et les gabbros (roches grenues).
en s'éloignant de la dorsale, la lithosphère océanique se refroidit : sa densité et son épaisseur augmentent. Par ailleurs, ses minéraux s'hydratent.
Une marge continentale passive correspond à une des 2 lèvres d'un ancien rift continental, déchirure de la lithosphère qui est à l'origine d'un nouvel océan.
Les frontières de convergence sont des zones où les plaques s'affrontent et où les matériaux sont enfouis dans l'asthénosphère.

Les zones de subduction sont le siège d’une importante activité magmatique caractéristique : volcanisme, mise en place de granitoïdes :

voir en 4ème

Les roches de la lithosphère
Convergence et collision continentale :

voir en 4ème

Origine et mouvement des plaques lithosphériques.
Naissance et disparition des océans.
Mouvements de convergence et subduction.
Formation des chaînes de montagne.
Voir en 1ère S

Les océans naissent de la déchirure d'un continent au niveau d'un rift. Lorsque l'océan s'est élargi, ses marges qualifiées de passives correspondent aux 2 lèvres autrefois jointives de l'ancien rift continental.
Les sédiments des marges passives sont surtout d'origine détritiques (érosion du continent); ils sont de plus en plus fins lorsqu'on s'éloigne vers la haute mer (les particules les plus fines sont transportées le plus loin).
Dans les plaines abyssales, les sédiments sont constitués par les tests calcaires ou siliceux des êtres vivants planctoniques. Au delà de 4000 mètres de profondeur, seuls les tests siliceux peuvent sédimenter car les tests carbonatés sont dissous avant d'atteindre le fond.
La subduction d'une plaque océanique sous une plaque continentale peut conduire à l'affrontement de 2 plaques continentales. Cet événement conduit à la surrection d'une chaîne de montagnes dites de collision.

6ème Partie : PROCRÉATION
Du sexe génétique au sexe phénotypique :
voir en 4ème
Évolution des caractères sexuels au cours de la puberté
Schéma et fonctionnement des organes génitaux.
Voir en 3ème
Dans l'espèce humaine, le caryotype comprend 23 paires de chromosomes. Le caryotype de la femme est constitué de 44 chromosomes autosomes et de 2 chromosomes sexuels X; le caryotype d'un homme présente 44 chromosomes autosomes et d'un chromosome sexuel X et un chromosome sexuel Y.
Chaque gamète humain contient 23 chromosomes : un de chaque paire.
Comme un ovule a autant de chance d'être fécondé par un spermatozoïde X que par un spermatozoïde Y, il naît autant de filles (XX) que de garçons (XY).
voir en 1ère S
Le phénotype est l'ensemble des caractères observables d'un individu. Le phénotype peut se définir à différentes échelles qui découlent les unes des autres : organisme, cellule, molécule.
Parmi les protéines qui interviennent dans la réalisation du phénotype, les enzymes jouent un rôle essentiel : sans elles les réactions biochimiques indispensables ne pourraient se dérouler. Elles catalysent les réactions chimiques qui se produisent dans les cellules. Pour agir, les enzymes se lient de manière transitoire au substrat, grâce à la forme spécifique de leur site actif.
Régulation physiologique de l’axe gonadotrope : intervention de trois niveaux de contrôle :
voir en 4ème
Schéma et fonctionnement des organes génitaux
Le cycle sexuel de la femme
voir en 3ème
Le milieu intérieur comprend la lymphe, le sang et le liquide interstitiel.
Les échanges entre les cellules et le milieu intérieur.
Voir en 1ère S
La régulation de la glycémie est un système autorégulé à commande hormonale.
Notion d'hormone.
Rencontre des gamètes et début de grossesse :
voir en 4ème
Fécondation : union du noyau du spermatozoïde et de l'ovule.
Grossesse et développement du fœtus.
Aspect comportemental :
voir en 4ème
Chez les animaux, certains comportement facilitent la rencontre des gamètes
Maîtrise de la procréation :
voir en 3ème
Les moyens contraceptifs.
La procréation médicalement assistée.
L'IVG (Interruption Volontaire de Grossesse)
7ème Partie : IMMUNOLOGIE
Une maladie qui touche le système immunitaire : le SIDA (syndrome d’immunodéficience acquise) :
voir en 3ème
Bactéries et virus sont 2 groupes différents de micro-organismes; certains sont pathogènes, c'est à dire peuvent infecter l'homme
Prolifération des microbes (bactéries et virus) dans l'organisme.
Les organes du système immunitaire.
Les processus immunitaires mis en jeu - Généralisation :
voir en 3ème
La réaction inflammatoire.
Réaction spécifique des lymphocytes B (anticorps) et des lymphocytes T.
La mémoire immunitaire.
Les dérèglements et les déficiences du système immunitaire.
Actions du VIH sur le système immunitaire
Les vaccins et la mémoire immunitaire :
voir en 3ème
L'aide à la réponse immunitaire : vaccins, greffes.
8ème Partie : COUPLAGE DES ÉVÉNEMENTS BIOLOGIQUES ET GÉOLOGIQUES
AU COURS DU TEMPS
La limite Crétacé-Tertiaire : un événement géologique et biologique majeur
voir en 4ème
Les êtres vivants se sont renouvelés au cours de l'histoire de la vie.
Événements géologiques et évolution de la vie.
Causes de la disparition des dinosaures.
Les crises biologiques, repères dans l’histoire de la Terre :
voir en 4ème
Les êtres vivants se sont renouvelés au cours de l'histoire de la vie.
Événements géologiques et évolution de la vie.

 

II- ENSEIGNEMENT DE SPÉCIALITÉ :

1ère Partie : DU PASSÉ GÉOLOGIQUE A L'ÉVOLUTION FUTURE DE LA PLANÈTE

Les climats passés de la planète :

voir en 4ème
Événements géologiques et évolution de la vie.

 Voir en 3ème

Activités humaines, pollution et effet de serre.

Voir en 2nde

Évolution de l'atmosphère à l'échelle des temps géologiques.
L'effet de serre dans l'histoire de la Terre.
Les phénomènes biologiques et la composition en O
2 et CO2 à l'échelle des temps géologiques. 

Les variations du niveau de la mer :

     
2ème Partie : DES DÉBUTS DE LA GÉNÉTIQUE AUX ENJEUX ACTUELS DES BIOTECHNOLOGIES

Les débuts de la génétique : les travaux de Mendel (1870) :

 

 
La théorie chromosomique de l’hérédité :  

voir en 3ème 

Unicité des individus
au cours de sa formation, chaque gamète reçoit au hasard un chromosome de chaque paire soit 23 chromosomes : les gamètes produits par un individu sont génétiquement différents.
Lors de la fécondation, spermatozoïde et ovule participent à la transmission de l'information génétique : pour chaque paire de chromosomes et chaque gène, un exemplaire vient du père, l'autre de la mère.

L’avènement de la biologie moléculaire : une nouvelle rupture

 voir en 2nde
 Le matériel génétique est contenu dans le noyau sous forme d'ADN, constituant essentiel des chromosomes.
L'ADN, formé de deux chaînes de nucléotides (A, T, C et G) est le support universel de l'information génétique, sous formes d'unités d'information appelées gènes.
La séquence de nucléotides d'un gène constitue un message codé : c'est l'information qui indique l'ordre d'assemblage des acides aminés du polypeptide gouverné par ce gène.
Les mutations, qui sont des modifications de la séquence des nucléotides d'un gène, sont à l'origine de la formation de nouveaux allèles.
 
Voir en 1ère S
Les protéines sont des séquences d'acides aminés. La structure trimenditionnelle des protéines dépend étroitement de la séquence des acides aminés de la protéine.
L'information nécessaire à la synthèse d'une protéine est un gène, elle est codée sous forme d'une séquence d'ADN.
Le système de correspondance entre la séquence de nucléotides du gène et la la séquence des acides aminés de la protéine est appelé code génétique. A 3 nucléotides correspond un acide aminé bien déterminé.
L'expression de l'information génétique fait intervenir 2 étapes :
- une transcription qui produit une série de copies éphémères du gène : les ARN messagers.
- une traduction au cours de laquelle l'information apportée par chaque ARNm dans le cytoplasme est décodée pour assembler les acides aminés.
La révolution technologique du début des années 70 :
   
Les enjeux actuels des biotechnologies :
   
3ème Partie : DIVERSITÉ ET COMPLÉMENTARITÉ DES MÉTABOLISMES
Du carbone minéral aux composants du vivant : la photo-autotrophie pour le carbone : 
voir en 6ème
Les relations alimentaires qui existent entre les êtres vivants d'un milieu peuvent être représentés par des chaînes alimentaires. Chaque chaîne débute par un végétal chlorophyllien.
Les animaux se nourrissent toujours de matière minérale (notamment de l'eau) et de matière organique provenant d'autres êtres vivants animaux et/ou végétaux.
Les végétaux chlorophylliens ont des besoins alimentaires très différents de ceux des animaux : ils n'ont besoin que de matière minérale (eau, sels minéraux, dioxyde de carbone), à condition d'être correctement éclairés.
Tout être vivant produit sa propre matière à partir des aliments qu'il prélève dans son milieu de vie :
- les végétaux chlorophylliens sont des producteurs primaires (autotrophes, car ils fabriquent leurs constituants organiques à partir de substances minérales).
- les autres êtres vivants sont des producteurs secondaires (hétérotrophes, ils fabriquent leurs constituants organiques à partir de substances minérales et organiques).
voir en 5ème
Placés à la lumière, les végétaux chlorophylliens produisent du dioxygène.

Voir en 2nde

On distingue deux grands modes de nutrition des êtres vivants : l'autotrophie et l'hétérotrophie.
L'ATP, molécule indispensable à la vie cellulaire :

voir en 5ème

La contraction des muscle permet la réalisation des mouvements
voir en 2nde
La diversité des structures cellulaires (chloroplaste, paroi, absence de noyau des procaryotes)
Dégradation des composés organiques et régénération des intermédiaires métaboliques :
voir en 2nde
La diversité des structures cellulaires (chloroplaste, paroi, absence de noyau des procaryotes)

Bilan structural et fonctionnel d’une cellule vivante

voir en 2nde
La diversité des structures cellulaires (chloroplaste, paroi, absence de noyau des procaryotes)